Cette théorie proposée par Milutin Milanković entre 1911 et 1941, confirmée par l'étude de l'oxygène 18, et largement approuvée par la communauté scientifique explique les cycles climatiques glaciaires / interglaciaires par les variations d'excentricité, d'obliquité et de précession terrestre. Les travaux de l'équipe de Svensmark ont trouvé de nombreux échos dans la communauté scientifique autour des années 2000[96],[97],[98]. Les carottages glaciaires réalisés en Antarctique montrent une corrélation étonnante entre la température et le taux de CO2 dans l'atmosphère. Sur une échelle plus large, la même courbe peut apparaître comme la superposition d'une croissance linéaire et de variations multi-décennales[59],[source insuffisante]. Mais des études plus récentes ont permis de dater plus précisément les enregistrements réalisés et ont remis en cause les résultats et les méthodes utilisées dans ces premières études. Le temps n’est pas encore bien éloigné que, sur ces montagnes qui ne servent aujourd’hui qu’à nourrir des abeilles, on trouvait des arbres de haute futaie très-propres à être employés dans de grandes constructions dont il subsiste plus d’un débris. En juin 2008, le professeur Roy Spencer (scientist) (en), après analyse des données, conclut que, contrairement aux modélisations utilisées par les divers centres de recherche, l'eau atmosphérique apporte une forte rétroaction négative à l'effet de serre et que l'évaluation du réchauffement global doit être très fortement diminuée[source insuffisante][88]. - Des années 1550 aux années 1850 subsiste le petit âge glaciaire. Les agences scientifiques aux USA, en Europe et ailleurs sont restées singulièrement silencieuses lors des récentes controverses, « ne peut trancher un tel débat sans l’avis des pairs », « que le climato-scepticisme fait son entrée dans l'espace médiatique français », The Great Global Warming Swindle (Contributors to the programme, Ces données montrent que la croissance économique n’entraîne pas forcément une augmentation des rejets et qu'il existe une marge de progression importante dans de nombreux pays, sans affecter le confort de vie des habitants, oint science academies statement: global response to climate change, Joint science academies’ statement on growth and responsibility: sustainability, energy efficiency and climate protection, John Cook, Dana Nuccitelli, Sarah A Green, Mark Richardson, Bärbel Winkler, Rob Painting, Robert Way, Peter Jacobs & Andrew Skuce (2013) Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the scientific literature | publié le 15 mai 2013 | IOP Publishing Ltd Environmental Research Letters | Volume 8, Number 2 Environ. Le terme sous-entend un délit de négation d'une thèse historiquement prouvée. Effet de serre et réchauffement climatique 1. L'American Meteorological Society et l'American Geophysical Union avaient protesté estimant que les demandes de Barton concernant le travail d'un scientifique sentait l'intimidation[129]. À l'inverse, les scientifiques ayant travaillé à l'élaboration des divers rapports du GIEC sont parfois accusés de malhonnêteté et d'imposture[157]. Après avoir atteint un maximum en 2014, la banquise s’est mise à y fondre très rapidement[114],[115],[116]. Le réchauffement climatique est le phénomène de hausse de la température moyenne observée dans les océans, au niveau de l'atmosphère et à la surface de la Terre. Les entreprises des secteurs pétroliers et charbonniers ont parfois une position ambiguë. En effet la Haute Cour de Justice a jugé ce documentaire exceptionnel, et a estimé que sa présentation des changements climatiques et de ses effets était dans une large mesure très pertinent[163]. C'est pour cela qu'ils l'ont appelé le « pays vert », comme je l'ai dit. Ces relevés ont tout naturellement conduit à lier la production de CO2 à l'élévation de température. Cette augmentation entraîne des rétroactions du système climatique global, dont la complexité implique le recours aux modèles et aux tests permettant de les valider. Les polémiques portant sur l'existence et les causes du réchauffement climatique furent particulièrement virulentes entre 2004 et 2010 environ, période pendant laquelle le grand public prend largement connaissance du problème posé. On parle aussi de changement climatique ou de dérèglements climatiquescar on note des changements importants dans les phénomènes climatiques : plus de canicules, ou inverseme… Parmi les canadiens percevant un réchauffement, 61 % l'attribuaient à des causes humaines, mais seuls 45 % aux États-Unis. Cet effet de serre nature… Son étude, qui est encore discutée[réf. À l'inverse, une faible activité solaire devrait être liée à un refroidissement. Il fallut attendre sept ans pour que ce maximum soit battu, puis encore cinq ans pour que le deuxième maximum soit à nouveau battu. Ce taux était considérablement plus restreint en Alberta (72 %) et dans les Prairies (Manitoba et Saskatchewan, 60 %). Les imprécisions ou erreurs concernent : Angel Green, Clifford Polycarp, Rubens Born, Mark Lutes. Les Vikings furent présents au Groenland de l'an 1000 à 1400 environ et la fin de leur implantation est probablement due à plusieurs facteurs : refroidissement du climat, baisse du commerce de l'ivoire avec les pays européens, voire rupture des liaisons avec le continent en raison de l'épidémie de peste noire entre 1347 et 1352, affrontements avec les Inuits progressant depuis le Nord[79],[78]. Guy Stewart Callendar voyait dans ce réchauffement des effets bénéfiques qui rendraient les climats nordiques plus doux et retarderaient notamment un « retour meurtrier des glaciers »[118] annoncé par la théorie des cycles climatiques de Milutin Milanković. Et pour relever le défi, nous avons deux leviers entre les mains : s’attaquer aux causes du réchauffement de la planète et en limiter les conséquences. C’est devenu un enjeu consensuel. Parmi ceux-ci, plus de la moitié seraient sans diplômes, et 48 % âgés de plus de 70 ans[147]. Les autorités politiques sont ainsi soumises à de fortes pressions et à des activités de lobbying contradictoires entre les divers acteurs industriels ayant un intérêt dans la question du réchauffement climatique[172]. En novembre-décembre 2016, près de 80 % des électeurs américains enregistrés disaient, avant les élections, souhaiter favoriser les taxes sur la pollution associée au réchauffement climatique, la réglementation de cette pollution ou les deux[35]. Depuis 2002, le satellite AQUA de la NASA réalise des mesures précises du cycle de la vapeur d'eau atmosphérique, principal gaz à effet de serre, des nuages et des précipitations, en vue d'en mieux connaître les rétroactions dans l'évolution de la température atmosphérique. Elles sont corroborées par des faits historiques, des écrits, des observations notamment sur les récoltes[Lesquels ?]. Trois phénomènes astronomiques affectent le mouvement de certaines planètes du système solaire, dont la Terre : les variations de l'excentricité de l'orbite, les oscillations de l'inclinaison de l'axe[80] et la précession des équinoxes. Selon cette théorie, sans forçage anthropique la planète devrait entrer dans une nouvelle ère de refroidissement, ou entrer dans une phase interglaciaire exceptionnellement longue et stable (encore 50 000 ans)[11]. En 2013, un consensus de 97 % est rapporté par Cook et al[17] sur la base de l'analyse de 11 944 résumés de documents de recherche, dont 4014 ont pris position sur la cause du réchauffement climatique récent. La température moyenne pourrait augmenter de 1,1 °C à 6,4 °C d’ici à 2100. L'hydrogène accrété par le Soleil augmente légèrement sa luminosité, tandis que celui accrété par la Terre réagit avec l'oxygène présent dans la haute atmosphère, ce qui pourrait accroître la formation de nuages dans la mésosphère, réduisant l'énergie solaire reçue à la surface de la planète, notamment dans les régions polaires[12]. La cause principale est l'augmentation des quantités de gaz à effet de serre. En 2014, ce ratio a été porté à quarante fois par le cinquième rapport du GIEC[103]. Lors du passage dans un milieu interstellaire dense en hydrogène, l'héliosphère rétrécit et l'accrétion d'hydrogène par les planètes comme par le Soleil s'accroît. L'exemple de l'Antarctique : avant la dislocation du supercontinent Gondwana, le climat antarctique était chaud et humide ; dès que l'Australie, l'Afrique et l'Amérique du Sud ont migré vers le nord, les divers détroits se sont ouverts et un courant océanique circulaire (appelé courant circumpolaire) commença. Il s'agirait d'un basculement vers un déséquilibre climatique de forte ampleur, sans déjà savoir si un point de non-retour est atteint[réf. Les chercheurs ont analysé 100 000 articles publiés entre 2000 et 2016 dans la presse anglophone pour arriver à la conclusion que la visibilité médiatique des climatosceptiques a été 49 % plus importante que celle du changement climatique. Elle permet de suivre, au fil de la dérive des continents et des périodes de glaciations successives, les variations liées aux changements climatiques ayant affecté les sols et les espèces. Un consensus certain s'est cependant établi et renforcé parmi les scientifiques climatologues ou de spécialités concernant les domaines ayant une influence à court, moyen ou long terme sur le climat[12] : géologie, astrophysique, chimie, histoire, glaciologie, etc. L'affaire a eu des répercussions jusqu'au Sénat des États-Unis où le sénateur Joe Barton, opposé à la signature des accords de Kyoto, s'appuya sur l'article de McIntyre et McKitrick et sur le rapport qu'il avait demandé au statisticien Wegman qui allait dans le même sens pour contester les conclusions du GIEC sur l'influence de l'homme sur le climat. Geophysics Study, Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, Attribution du changement climatique récent, Changements Climatiques 2007: Rapport de Synthèse (page 30), Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement, Réponse adaptative et non-adaptative au stress thermique, Migrations environnementales et climatiques, Risques d'effondrements environnementaux et sociétaux, Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer, chargé des Technologies vertes et des Négociations sur le climat, Les informations des services publics sur le thème du changement climatique sur le portail Toutsurlenvironnement.fr, Le premier observatoire francophone du changement climatique, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, Rayonnement sortant à grande longueur d'onde, Agence internationale pour les énergies renouvelables, Ressources et consommation énergétiques mondiales, Efficacité énergétique dans les transports, Projet de tribunal international climatique, Liste des œuvres de science-fiction post-apocalyptique, Portail des sciences de la Terre et de l’Univers, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Changement_climatique&oldid=180083833, Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. En outre, il existe deux biais dans le travail de Tol : 1°) il n'a pas différencié les points de vues d'experts et de non-experts ; 2°) il présuppose que les résumés d'articles n'expliquant pas la cause du réchauffement climatique (n'exprimant « aucune position » à ce sujet) sont issus d'auteurs n'adhérant pas à l'idée que le réchauffement a une origine anthropique et représentent une position de « non-endossement ». La politesse, l'honnêteté, les faits et la relativisation ne sont pas de mise[136]. La liste des 20 personnalités (18 chercheurs) est disponible dans l'article correspondant The Great Global Warming Swindle (Contributors to the programme. Le Professeur Phil Jones, du Climatic Resarch Unit (CRU), a déclaré en 2010 que depuis quinze ans, il n'y avait pas eu de réchauffement statistiquement significatif[60]. » Enfin, l'éditorial indique que les scientifiques doivent saisir toutes les occasions pour réaffirmer le consensus : « Le noyau scientifique appuyant la thèse du réchauffement climatique anthropique n'a pas changé. ont mesuré en 2016 que seuls 30 % des enseignants en sciences des écoles primaires et 45 % de ceux des classes secondaires étaient conscients du fait que le consensus scientifique dépassait 80 %[26] ; et 31 % des cours sur le changement climatique présentaient aux élèves des messages contradictoires (mettant l'accent à la fois sur le consensus et le supposé dissensus scientifique)[26]. Un hiver nucléaire est un phén… Des premières études suggéraient que l'augmentation du CO2 était intervenue environ 800 ans après celle de la température antarctique lors de la dernière déglaciation (surnommée Terminaison I, TI)[81] et lors de la Terminaison III[82]. En 2010, le GIEC a reconnu l'erreur, déclarant que le paragraphe en question « se réfère à des estimations peu fondées sur la vitesse du recul des glaciers de l'Himalaya et la date de leur disparition ». The largest driver of warming is the emission of … De façon similaire, le forçage anthropique seul ne pouvait expliquer le réchauffement de la période 1910-1945, mais se révélait nécessaire pour simuler le réchauffement depuis 1976. la diminution du lac Tchad, qui est généralement attribuée par les scientifiques à d'autres facteurs. Du côté des sociétés civiles, les citoyens des États-Unis sont longtemps restés parmi les plus climatosceptiques, notamment parce qu'ils pensaient (et pensent encore pour beaucoup) que les scientifiques ne sont pas d'accord sur le sujet, en particulier parce que c'est ce que répètent depuis plus de 20 ans de nombreux leaders politiques américains[19]. Lors de l'optimum climatique médiéval, la culture de la vigne s'est développée en Angleterre. Ainsi, un réchauffement récent, l'optimum climatique médiéval, a eu lieu au Moyen Âge, suivi d'une période de refroidissement, le petit âge glaciaire, entraînant des variations importantes de l'étendue des glaciers. et le forçage anthropique (gaz à effet de serre, aérosols, etc.). Entre 2003 et 2010, une critique concernait la reconstitution des températures depuis l'an mil utilisée dans le troisième rapport[42] du GIEC (2001), dont la forme, dite en « crosse de hockey »[53] est particulièrement spectaculaire : la montée des températures lors du dernier siècle y apparaît inhabituelle au regard de l'évolution du dernier millénaire, accréditant la thèse d'un réchauffement d'origine anthropique. Selon l'objectif poursuivi, le terme « changement climatique » n'a pas la même signification : Le philosophe grec Théophraste, dans son ouvrage Des vents[source insuffisante][5], écrit que sur les monts crétois, on pouvait déjà voir des ruines d'anciennes cités, sites abandonnés, autrefois terrains habités ou cultivés, dépeuplés depuis longtemps pour des raisons climatiques. Pour Fred Pearce, auteur de l'entretien du New Scientist, la confiance placée par le GIEC dans les données indiquées par le WWF était « extrêmement paresseuse »[124]. Même si les publications des travaux du GIEC reposent sur un processus strict, nécessitant l'accord aussi bien d'experts que de représentants gouvernementaux[120],[121], une erreur concernant la date de fonte des glaciers de l'Himalaya s'est glissée dans le rapport de 900 pages de 2007[122]. Sur l'ensemble du panel américain considéré, plus le niveau de connaissance scientifique est élevé, plus l'adhésion à la thèse d'un réchauffement climatique d'origine essentiellement anthropique est importante[152]. Depuis, le GIEC affirme[réf. L'hypothèse d'une responsabilité humaine sur le climat de la Terre est présentée par le GIEC dans ses rapports successifs : d'abord hypothétique dans les rapports de 1990 et 1995, elle est de plus en plus affirmée dans les rapports de 2001, 2007 et 2014[4], la responsabilité humaine étant de plus en plus mise en avant dans les rapports successifs. En effet, des voix s’élevèrent pour tempérer, voire critiquer les conclusions à leurs yeux « alarmistes » du rapport 1995 du GIEC. Cette différence entre jours de semaine et week-ends est corrélée au cycle hebdomadaire de l'activité humaine (forte la semaine et faible le week-end)[85]. Cette approche n'est pas scientifiquement pertinente notent John Cook & al. Entre 2001 et 2010, plusieurs arguments étaient avancés pour réfuter l'idée qu'un réchauffement climatique était en cours. Présentation. 4. Pour certains, cette courbe a été délibérément falsifiée dans le but de faire croire à une influence humaine prépondérante sur le climat[57]. Début 2008, Ferenc Miskolczi, physicien hongrois, publie un article dans une revue scientifique de Hongrie, dans lequel il présente une modélisation nouvelle de « l'effet de serre borné dans une atmosphère finie semi-transparente ». La Russie, le Canada, la Chine demeurent sur une prudente réserve[190]. Le GIEC ne mène pas de recherche en son propre nom mais a pour mission d’évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation[9]. Ces chiffres sont nettement inférieurs à ceux avancés par des sondages aux États-Unis, lesquels montrent à quel point la controverse sur le réchauffement climatique est un marqueur d'identité politique. Les polémiques portant sur l'existence et les causes du réchauffement climatique furent particulièrement virulentes entre 2004 et 2010 environ, période pendant laquelle le grand public prend largement connaissance du problème posé. Des études ultérieures ont confirmé qu'on ne pouvait attribuer l'augmentation des températures à cet effet de chaleur urbain[44],[45]. La conjugaison de ces changements provoque l'élévation du niveau des océans, qui entraîne des inondations et l'érosiondes zones côtières et d'autres situées à basse altitude. Le réchauffement climatique a en effet pour conséquence immédiate une diminution de l'accès à l'eau potable et à la nourriture, en Afrique et en Asie notamment. Deux autres enquêtes ajoutent que l'opposition historiquement forte des électeurs américains aux taxes et à l'augmentation des taxes pourrait ne pas concerner la taxe carbone ou les taxes visant à réduire les émissions de carbone[34]. souhaitée], avec notamment le dégel du pergélisol contenant du méthane (CH4), dont l'action sur l'effet de serre est de 25 fois supérieure au dioxyde de carbone (CO2) et la fonte des glaces polaires et des glaciers augmente l'absorption par les sols et les océans des rayonnements solaires. Le climat change avec le temps Le climat sur Terre n’est pas toujours resté le même. Les résultats de ces prévisions sont discutés pour fournir une prédiction finale avec un indice de confiance. Une autre théorie, compatible avec les autres, est celle des cycles solaires, développée par l'Allemand Heinrich Schwabe vers 1840, puis par l'Américain George Hale en 1906. Par exemple il y a 100 millions d'années les dinosaures vivaient dans un climat tropical. Elle considère que les chercheurs sont désemparés face au jeu des sceptiques avec les médias, qu'elle accuse de complicité : « La plupart des chercheurs n'ont aucun repère dans ce type de bataille car il ne s'agit que superficiellement de science. principe physique de la chambre à brouillard) et donc à la fois sur l'albédo planétaire et l'effet de serre dû aux nuages et à la vapeur d'eau. Les différentes causes du réchauffement climatique. L’augmentation de CO2 et, à un moindre degré, des autres gaz à effet de serre, est incontestablement due à l’activité humaine. de l'étude déjà cité de Cook & al, 2016, Voir tableau S2 dans l'étude déjà citée de John Cook & al. Des incertitudes importantes demeurent sur la modélisation des nuages, l’évolution des glaces marines et des calottes polaires, le couplage océan‐atmosphère, l’évolution de la biosphère et la dynamique du cycle du carbone[…]. Pour le changement climatique en cours, voir, Déplacements des continents vers les pôles, Par exemple les variations de l'intensité du, « Telle était l’excellence et la fécondité du sol de l’Attique. Selon Der Spiegel plusieurs signataires allemands ont des liens avec la droite radicale[22],[23]. Actuellement, le phénomène des changements climatiques dits naturels (ou « variations climatiques ») n'est pas totalement compris, mais il existe plusieurs hypothèses qui tentent de les expliquer. souhaitée], la végétation ralentit sa croissance et donc sa capacité à extraire le carbone de l'atmosphère. De plus, Plutzer et al. 3. D'après une étude publiée en aout 2019 dans Nature Communications, les personnalités climatosceptiques ont bénéficié d'une plus forte médiatisation que les climatologues reconnus. En 2019, selon un rapport sur l’opinion publique et le climat, 23% de la population mondiale soutient que le changement climatique n’est pas d’origine humaine[149]. Le film cite notamment une étude datant de 2005 de Ján Veizer (Ottawa-Carleton Geoscience Centre, Université d'Ottawa)[167], démontrant cette corrélation à différentes échelles de temps ainsi que l'influence complémentaire d'autres types de rayonnements cosmiques ayant notamment une influence sur l'évaporation d'eau et la couverture nuageuse. Remise dans un contexte temporel plus large, il apparaît que l'interprétation des données à partir des années 1970 seulement offre une vision biaisée de l'évolution des températures en présentant une croissance monotone. Les mécanismes pouvant jouer un rôle dans la transmission et l’amplification du forçage solaire et, en particulier, de l’activité solaire ne sont pas encore bien compris. Néanmoins le ratio (CO2/$ de PIB) est très variable, certains pays développés sont relativement performants (Japon, France, Suisse, pays nordiques) et d'autres assez moyens (États-Unis) alors que des pays beaucoup moins développés émettent en proportion beaucoup de CO2 (ex URSS notamment)[187]. Seul un nombre limité d'entre eux contestent l'influence humaine sur le réchauffement climatique. En juin 2014, le journaliste Christopher Booker soutient, sur la base de comparaisons publiées par le blog américain de Steven Goddard (en) « Real Science », qu'au cours des dernières années, la NOAA (USHCN) a « ajusté » les données climatologiques historiques, relatives aux États-Unis, avant de les rendre accessibles au public : selon C. Booker, la NOAA remplaçait les températures réelles par des données « fabriquées » à l'aide de modèles informatiques. Pour limiter l’impact de notre alimentation sur le climat, privilégions autant que possible les fruits et légumes de saison. l'élévation du niveau des mers de 7 mètres, qui pourrait être perçu à tort comme pouvant intervenir en quelques décennies. Par exemple, les mesures satellitaires réalisées depuis vingt-cinq ans environ (plus précises et couvrant une superficie beaucoup plus grande que les mesures terrestres) sont conformes aux mesures de surface et tendent à confirmer l'estimation la plus basse du GIEC[47]. Certaines industries tentent de tirer argument du réchauffement climatique pour mettre en avant leur activité. Plusieurs documentaires ont fait l'objet de vifs débats. Cependant, des traitements statistiques sont mis en œuvre pour corriger ces phénomènes. Beaucoup des électeurs de Donald Trump appuieraient un programme sur la taxe sur le carbone, l'action climatique et les énergies propres[34]. Les deux modèles informatiques de climats (américain et européen) donnent des résultats assez semblables, mais sont très largement dépendants des facteurs anthropiques. Il y avait d’ailleurs beaucoup de grands arbres à fruits ; les troupeaux avaient de vastes pâturages. Selon une étude de l'organisation InfluenceMap, les grandes compagnies pétrolières dépensent chaque année environ 200 millions de dollars en lobbying pour bloquer les mesures de lutte contre le réchauffement climatique[179]. En 1815, l'éruption du Tambora a également eu des conséquences climatiques mondiales, avec de fortes perturbations en 1816 qui sont restées dans les annales climatiques comme « l'année sans été ». Alors que le consensus scientifique est presque total sur le point du réchauffement climatique, Boussalis & Coan montrent en 2016 que la désinformation et les attaques contre la science du climat persistent de la part de certaines organisations conservatrices[33]. De plus, des corrections statistiques sur les données anciennes détaillées par un article de la revue Science (pour les périodes d'avant-guerre, les seules données de températures en mer étaient faites à partir des navires ; or elles apparaissent systématiquement plus chaudes que celles faites au moyen de bouées) contribuent à éliminer le hiatus des années 2000[65],[66]. Les premières polémiques débutèrent peu avant les années 2000. Qui le croirait, et notre pays d’aujourd’hui peut-il donner quelque idée de l’ancien ? Certains observateurs font remarquer que l'évolution des températures est corroborée par un grand nombre d'indicateurs[46]. 57 % des conservateurs pensent même qu'il n'y a pas de preuve solide du réchauffement climatique (contre à peine 10 % des libéraux)[150]. », Philosophical Magazine and Journal of Science, National Research Council (U.S.). 2016, Leiserowitz A, Maibach E, Roser-Renouf C, Feinberg G and Rosenthal S (2015), Plutzer E, McCaffrey M, Hannah A L, Rosenau J, Berbeco M and Reid A H (2016) | Climate confusion among US teachers Science |351 664–5. Les solutions. Explore content created by others. Or il n'y avait pas de CO. Dominique de Montvallon-auteur2=Claude ALLEGRE, Voir l'essai "Effondrement" de Jared Diamond, Proceedings of the National Academy of Sciences, Quarterly Journal of the Hungarian Meteorological Service, Les données de Eigil Friis-Christensen et Lassen ont été utilisées dans le film, Experimental evidence for the role of ions in particle nucleation under athmospheric conditions, "Analysis of a number of published graphs that have played a major role in these debates and that have been claimed to support solar hypotheses (Laut, 2003; Damon and Peristykh, 1999, 2004) shows that the apparent strong correlations displayed on these graphs have been obtained by incorrect handling of the physical data", La date de fonte des glaciers de l'Himalaya 2350 au lieu de 2035 comme indiqué dans le rapport du GIEC. Toute l’Attique se détache en quelque sorte du continent, et s’avance au loin dans la mer, semblable à un promontoire. Le cas le plus emblématique de ces attaques est sans doute l'affaire dite du Climategate, en novembre 2009, dont plusieurs enquêtes indépendantes menées jusqu'en juillet 2010 jugeront les accusations sans fondement[158]. Ce rayonnement est bloqué par les gaz à effet de serre (« GES ») et par les nuages. Clarification des points de controverse[36],[38],[37] : Le climat connaît des variations régulières et Marcel Leroux (1938-2008) faisait remarquer que le réchauffement annoncé s'inscrivait dans ces variations. Or, dans les terribles inondations qui, durant les neuf mille ans écoulés jusqu’à ce jour, causèrent de vastes bouleversements, la terre, détachée des hauteurs par le cours des eaux, n’exhaussa point le sol comme en d’autres lieux, mais, en se roulant autour du rivage, alla se perdre dans les flots.